Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1830-1831, Tome 21.djvu/58

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équation qui ne s’élève qu’au douzième degré seulement, et encore voit-on que si était divisible par que si l’on avait, par exemple,

(14)

tous ses termes étant alors divisibles par elle deviendrait

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de manière qu’elle ne s’élèverait plus qu’au neuvième degré.

Troisième Degré.

Soient les deux proposées, du troisième degré,

(16)

si l’on prend, tour à tour, la somme de leurs produits respectifs, d’abord par et puis par et  ; en divisant par la dernière des équations résultantes, et posant, pour abréger,

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d’où

ou, en développant, réduisant et décomposant,