principaux disciples racontent en vers le cours de leur vie dans de précédentes existences, ou exposent les conséquences des bonnes et des mauvaises actions.
Ce volume comprend 478 feuilles, depuis le 55e jusqu’au 82e livre ou section, inclusivement.
Résumé du contenu. — Dernière partie de la section « Médicaments » du second volume : — « costume ou vêtements » : — « nattes, étoffes à étendre » ; — Kauçambhi, « actes ou actions morales. » — Dmar-ser can, « l’homme intérieur », ou le « changement de l’homme (régénération). » — « Négligence ou abandon de la célébration de la confession ou supplication générale » ; « dispute ou querelle » ; — première partie de la section : « Action de causer des divisions parmi les prêtres ».
Feuille 1-20. — Çâkya continue le récit de ses naissances antérieures. Histoire de Bzang-mo et Padma-Rtsa-Lag, une courtisane et son amant, au temps du roi Ts’ang-Sbyin (sk. Brahmadatta) de Bénarès, citée par Çâkya, qui se l’applique à lui-même. — Il explique à ses disciples comment il a mortifié son corps pendant six ans ; — quelle fut, dans ses existences antérieures, la cause de ces mortifications. — Ses disciples lui demandent plusieurs choses, d’où vient telle ou telle tache ou infortune dans sa vie présente ; il leur raconte ses actions immorales du temps passé, et dit que ces défectuosités en sont la conséquence. — Histoire de Dgah-skyong, ascète et bon moraliste (folio 14).
Feuille 20. — Çâkya revenu du lac Ma dros avec cinq cents arhats à Çrâvasti est invité et hébergé par Sa-Ga (Ri-dags-hdzin-gyi-Ma), une dame[1]. — Enseignement qu’il lui donne à cette occasion.
Folio 21. — Dans son voyage en Koçala, Çâkya est invité par les brahmanes et les maîtres de maison de la ville de Thigs-pa-can. Requête qui lui est faite par cinq cents Yi-Dags[2] (êtres imaginaires représentés comme étant