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VOCABULAIRE DE L’ANALYSE DU KANDJOUR
Ñe-sde, traduction du sanskrit Upasena. Voir ce nom.
Ñe-svas (ou Ñe-sbas), quatrième chef de la société bouddhique après Çâkya, successeur de Çanahi-gos-can (Dulva, xi, 690).
Ñe var hkhor, traduction du sanskrit Upali. Voir ce nom.
Ñes-dor, ermite à la demande duquel Çâkya prononce la Dhâraṇi de Rgyüd VI, 8o.
Ñi mahi-gung, traduction du sanskrit Madhyântika. Voir ce nom.
Ñi mahi-sning-po, le vingt et unième des mille Buddhas de l’Âge heureux (Mdo i).
Ñon-mongs-med, autre nom de Nag-po, « le noir », Sk. Asita. Voir Nag-po.
Pâçva, un des cinq premiers disciples de Çâkya, converti à Bénarès (le troisième), cité parmi les auditeurs du Saddharma-puṇḍarika (Mdo VII, 1o).
Padma, « lotus » mudrâ de Brahma (Rgyud xix, 12o). Élément d’une foule de noms propres.
Padma-Çambhâla, traducteur de Rgyud xxii, 14o.
Padma-chen-po (Sk. Mahâ-Padma), roi de Magadha, de la génération antérieure à celle de Çâkya, père et prédécesseur de Bimbasâra.
Il est vaincu et assujetti par son voisin, le roi d’Anga (Dulva i, 4o). Mais son fils Bimbasâra l’affranchit de cette domination et Maha-Padma règne souverainement à Rajagṛha jusqu’à sa mort, tandis que Bimbasâra réside en maître dans la capitale du pays de Anga.
Padmahi-phreng-va-can, « qui a une guirlande de lotus », un des douze noms de Çrî (Rgyud xv, 4°).
Padmahi-spyan, « aux yeux de lotus », un des douze noms de Çrî (Rgyud XV, 4o).
Padma-rtsa-lag, amant de Bzang-mo, courtisane de Bârânasi au temps de l’ancien roi fabuleux Brahmadatta. L’histoire de ces deux personnages appartient à celle des anciennes naissances de Çâkya. Il semble que Padma-rtsa-lag ait été Çâkya lui-même et que l’erreur commise