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Page:Annales du Musée Guimet, tome 21.djvu/525

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HÂ 60 (SP. 59)




Ce Hâ est constitué par une série de bénédictions en faveur de la maison du fidèle. Il forme la partie essentielle de la « Bénédiction des justes », l’Âfringân Dahmân (v. vol. II).

Il est désigné dans l’Avesta même (Hâ suivant, § 1) sous le nom de dahma vanuhi âfriti « la juste, bonne Bénédiction » ou « la bonne Bénédiction du juste », mots qui, comme Ashem, désignent à la fois et une abstraction divine (v. Hâ I, 15, note 61) et la prière liturgique qui la glorifie.


Outre la traduction pehlvie, j’ai utilisé pour ce Hâune traduction sanscrite de l’Afringân Dahmân qui se trouve dans le manuscrit Burnouf 3, p. 95.

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Le Zôt remplit d’eau dans la cuve la coupe redressée au pied du Mâhrû et la place près du Hâvan.


Zôt et Râspî ensemble :


1 1[1]. « Que cet homme atteigne le bonheur suprême, qui nous enseignera les voies pures de la bienfaisance ! [Qu’il l’atteigne] dans le monde des corps et dans celui de l’esprit, oui, dans les mondes même où réside Ahura ; l’homme généreux, pareil à toi, connaissant le bien et bienfaisant, ô Mazda ! »

  1. 1. Cité de la Gâtha Ushtavaiti, Y. XLIII, 3.