APPENDICE (aux §§ 36-44)
14. Que dans la guérison des malades, la part céleste revient à l’Amshaspand Ashvahisht 2, la part mondaine revient aux drogues du médecin 3.
15. Qu’un bon médecin mérite tout ce qu’il y a de bon, qu’un mauvais médecin n’en mérite rien.
16. Qu’Aubrmazd a créé au moins une plante pour endormir (?) 4 chaque maladie 5.
17. De la . . . . . . 6 et de la dignité de la profession médicale ; du profit et des honoraires 7 que le médecin doit retirer de l’exercice de la médecine ; au médecin bonne nourriture, vêtements légers et monture ra-
1. West, Pahtavi ’/'p.rt.i. IV, 116-118. Je donue le texte là où je m’écarte de la traduction anglaise.
2. Voir Yt. III.
3. C’est le mot d’Ambroise Paré : « je pans 3 et Dieu guérit ». — znk î slihik madam hijashk dnlànak {Wre dârûk qui n’en diffère que par un a). 4. khdfUhih.
5. Voir Fargard .X, 4.
6. sdyagîk : M. West traduit protectiveness, probablement d’après sàya « ombre » ; je songerais volontiers a un dérivé de [h]-sûdan « calmer », cf. sûlakih « repos », (vol. I. p. 165, n. 19), â-.imjish, etc. 7. nXrmal : vol. 1, lvui, n. I.