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CORRECTIONS ET ADDITIONS


P. 340, 1. 2. Lire : le Kayadha.

P. 349, a. 9, 1. 2. Lire : dans le Nlrangistân, S 47 ; voir Fragments, p. Il0, 1. 13.

P. 379, n. 62. Ajouter : Cf. Nlrangistân, § 52 (careîïta écrit hvarenta).

P. 384, 1. 4. Lire : Thrita, fils de Sizhdra. — Même correction dans la note 84, lignes 2 et 7.

P. 384, n. 87. Ajouter : Une Asabana est femme de Pourudhâkhshti (Yt. XIII, 140) :1a légende se rapporte donc à une guerre de famille, de neveux aryens contre oncles touraniens.

P. 392, n. 137, 1. 2. Lire : doivent sortir les trois fils de Zoroaslre. — Supprimer les mots : « enfin Yaqût (Dictionnaire, p. 489) met le sacrifice sur le Kùr ».

P. 396, n. 170. Ajouter : cf. Nlrangistân, § 66.

P. 401, 1. 9. Lir eZlntgâb. Remplacer la note 24 par les mots : Le Zainigao du Yt. XIX, 9.

P. 438, n. 27, 1. 3. Lire : et il semble, par ce passage.

P. 439. Lire aux notes 33 et 34 au lieu de 34 et 35. A la dernière ligne, lire : voir l’Introduction au III e volume, lxxxiii-lxxxiv.

P. 472, n. 190, 11. 1-2. Lire : traduit par conjecture d’après l’allemand Schultermagen (Justi, Handbuch, s. v.). Le vieux droit germanique nommait les degrés de parenté d’après les membres du corps, et le Sac/isenspiegel (I, 3) compte sept degrés : tête, cou, épaule, coude, etc., les Nagelmagen ou parents de l’ongle, par exemple, sont ceux du dernier degré ; les Schultermagen sont les enfants de frères et de sœurs (communication de M. Chuquet). Les supti-dharenga sont donc « les parents à distance (7) d’épaule », les cousins.

P. 503, n. Il. Ajouter : Dans l’Inde la fête des Farvardagân s’appelle Muklâd, qui est la réduction de muktâtmanâm, traduction de Ashaonâm (fravashayo).

P. 535, n. 202. Voir Y Avestâi mârzadan dans les Fragments divers, p. 153.

P. 549, n. 275. Cf. Fragments Weslergaard, 2.

P. 583, n. 13, avant-dernière ligne. Lire : sanscrit (au lieu de : Nériosengh).

P. 592, 1. 9. Lire : Cista est, de nature, etc.

P. 595, n. 12. Ajouter : cf. Fragment ad Yasna, LXIV, 48 (éd. Sp.) : vol. II. 32

P. 602, n. 20. Lire : « courroies souples » (cf. Nlrangistân, §58), sscr., etc.

P. 607, n. 26. Voir le Fragment 48 du Farhang (vol. III, 23).

P. 625, n. 52, avant-dernière ligne. Lire Keresâspa.

P. 627, n. 65. Ajouter : lire apadisemnâi (?) dâuru, écartant la lance (?).

P. 664, n. 3, fin. Lire Y Errata à vol. I, p. 9, n. 14.

P. 694. n. 14. Ajouter : cf. Fragments Weslergaard, 5.

P. 717, n. 14. Lire : aparemca tkaêshem. Tir Andâz traduit kêshi àkhirîn, la loi des temps postérieurs : désigne les lois du temps présent, par opposition aux lois primitives, au paoiryô tkaêshô : voir la lettre du Tansar, dans ce volume, p. xxix.

P. 729. A l’Introduction à YAfrlngân Gâhânbdr ajouter les mots : L'Afrîn Gâhânbâr (vol. III, 182) cite YAfrlngân comme étant du Nask Hâdhôkht.

P. 733, 9 a, 1. 1. Lire Khshathra.