Page:Anonyme - La goélette mystérieuse ou Les prouesses d'un policier de seize ans, 1886.djvu/62

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— Non, la femme qui l’a volé dans le dessein de vendre ses vêtements et ses bijoux ne lui a rien laissé. Il ne lui est resté qu’une petite médaille en bronze suspendue à une chaîne d’un travail assez curieux et assez rare.

— Ceci est important, s’écria M. Turner.

— Ah ! reprit l’homme aux cheveux roux, il se souvient encore de deux petits faits, qui ont peut-être quelqu’intérêt. Il se rappelle qu’un jour, il est tombé des bras de la dame en soie