Page:Anonyme - La goélette mystérieuse ou Les prouesses d'un policier de seize ans, 1886.djvu/66

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moi. J’ai eu beau lui dire qu’il me fallait consulter, à Boston, un homme de loi, pour le compte duquel je travaillais, et qui ne voulait pas livrer les noms des parents avant d’être certain que les dates et les faits s’accordassent tout à fait ; notre homme paraît flairer, dans ma démarche, quelque chose qui cloche.

— C’est bien, on procédera autrement, répondit froidement M. Turner. Dès que j’aurai la médaille, vous partirez avec