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notes et corrections

V. 2115. — Qui nous a. — Trad. : ici nous a.

V. 2117. — Peut-être la barque échappée à la capture faite par Ysoré, v. 1406.

V. 2119. — Aentré, leçon du ms. Le sens indique de corriger : aencré.

V. 2120. — Dongeon, V. N. « à Solidort. »

V. 2127. — Chaussé, s. d. pour chasé.

V. 2131. — Trop abvon cy esté.

Ms. Alé vous en quar trop abvon cy esté.

V. 2135. — S’est, ms. c’est.

V. 2137. — Dans la neff, ms. dedans la nef.

Il est curieux que cette fuite d’Aquin ait fourni à la ville de Saint-Servan ses armoiries : une tour (Solidor) dont s’éloigne une petite nef.

V. 2140. — Choses, ms. chosses. — Vers incomplet.

V. 2141. — Et maint peile, ms. mainte perle ; l’épithète roué ne convient qu’au paile. Le copiste écrit constamment perle.

V. 2149. — O[ù] les conduie malfé, ms. o les conduire malfe. — Sens : où le diable les mène.

V. 2150. — Terzon.

Ce nom est sans doute une mauvaise lecture de celui de Cesson, déjà cité au vers 75. On admet généralement qu’il y ait eu dans le voisinage de la tour de Cesson un établissement romain. Il n’est pas possible de savoir quelle était l’importance ou la notoriété de ce lieu au XIIe siècle, les titres de la châtellenie de Cesson ayant disparu. (Cf. MM. Geslin de Bourgogne et de Barthélemy. Évêchés de Bretagne, D. de Saint-Brieuc, I, introd., lxxiii).

V. 2161. — Là yron [nous] se il, ms. la yron s’il.

V. 2164. — Brons.

Nous laissons à dessein ce vers faux. La correction