Page:Apollinaire - L’Enfer de la Bibliothèque nationale.djvu/124

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


159. — Le Couvent hospitalier, Conte tiré du Livre : De l’Origine des Proverbes, d’Aloysio Cynthio De Gli Fabritii (xvie siècle). Littéralement traduit pour la première fois, texte italien en regard. — Imprimé à cent vingt exemplaires, pour Isidore Liseux et ses Amis. Paris, 1885.

1 volume petit in-4o de xvii-57 pages. Imprimé à 120 exemplaires sur Hollande. Broché. Couverture. Titre en rouge et noir. Traduction française d’Alcide Bonneau.


160. — Le Poésie di Giorgio Baffo, Patrizio Veneto. — MDCCLXXI.

1 volume pet. in-4o s. l. ni adresse, de 1 feuillet de titre et 250 pages. Publié à Londres (d’après Lemonnyer) On ne connaît de cette édition que peu d’exemplaires. Elle ne contient qu’une petite partie de l’œuvre du Baffo.

Texte en dialecte vénitien du xviiie siècle.

Un autre exemplaire à 227.

Bien que la pagination soit régulière, le premier cahier est signé B, immédiatement après le titre. On a probablement supprimé une préface ou un avertissement qui devait former le cahier A sans chiffres ou avec chiffres en romain.

Voir à 93 la note accompagnant la traduction de Liseux.


161. — Le Roman de Violette, œuvre posthume d’une Célébrité masquée. (Fleuron, représentant un satyre trayant une chèvre). — Lisbonne, chez Antonio da-Boa-Vista, 1870.

1 volume in-18 (Bruxelles, Brancart), titre rouge et noir. Couverture grise imprimée avec encadrement typographique. Ce petit roman saphique a été attribué à Alexandre Dumas père, et aussi à Théophile Gautier, sans qu’aucune de ces attributions paraisse sérieuse. On affirme encore que ce roman serait du même auteur auquel on attribue aussi Les cousines de la Colonelle (voir 52) ; c’est-