Sommaire :
1. — Epitre Anodine à la Délaissée Désullan, par sa chère sœur la Garce en Pleurs.
2. — Mes Derniers soupirs.
3. — Réponse de Philippe Capet au nom de la ci-devant Noblesse, aux derniers soupirs de la Garce en Pleurs.
Pamphlet révolutionnaire. C’est Marie-Antoinette qui parle.
Le texte n’est pas le même que celui de la Garce en Pleurs.
1 volume petit in-8 de 83 pages (1770). Avec une figure libre ajoutée (sur feuilles volantes), en 2 états, noir et sanguine.
Ouvrage poursuivi pour outrages aux bonnes mœurs et condamné à la destruction par jugement du Tribunal de la Seine, du 12 octobre 1822. Le prévenu, J.-Baptiste Rousseau, libraire, fit appel de ce jugement à fin de nullité de la saisie qui ne lui avait pas été notifiée dans les trois jours voulus par l’article 7 de la loi du 17 mai 1819. La Cour royale de Paris, par arrêt rendu le 16 novembre 1822, déchargea Rousseau de l’action, et, néanmoins, sur les conclusions du Procureur général et du consentement du prévenu, ordonna que tous les ouvrages en question seraient retenus au greffe pour être mis sous le pilon (Voir Monit. du 26 mars 1825).
1 brochure in-8o de 10 pages. Sans date, 1787.