lord Arsouille[1], qui parut avant lui, mais une copie manuscrite de Hic et Hec a pu fort bien tomber entre ses mains.
Voir 671-672.
2 volumes in-16. Avec 7 gravures libres coloriées au tome Ier, et 1 frontispice et 3 gravures libres, en noir, au tome second. Manque une gravure, sans doute le frontispice du 1er volume.
Voir 669-670.
Il y a eu plusieurs autres réimpressions de cet ouvrage.
Celle de 1863 paraît être visée par le jugement du Tribunal de Lille du 6 mai 1868, inséré au Moniteur du 19 septembre 1868, condamnant à la destruction pour outrages à la morale publique et religieuse ainsi qu’aux bonnes mœurs l’ouvrage intitulé : Hic et hœc.
Ce même ouvrage avait aussi été condamné à la destruction par arrêt de la Cour royale de Paris, en date du 7 mars 1830, confirmé par un jugement du Tribunal correctionnel de la Seine, du 7 janvier précédent (Affaire contre Therry, libraire à Paris). Point d’insertion au Moniteur.
1 volume in-8 de 137 pages. Titre en rouge et noir. Avec un frontispice et 3 gravures libres très bien dessinées.
Relié avec le 674.
Voir une réimpression à 678.