licencieux intitulé : Hic et Hec, ou l’Elève des R. R. P. P. Jésuites d’Avignon, dont le titre porte plus fréquemment Hic et Hec ou l’Art de varier les plaisirs de l’amour (V. 669-670, Hic et Hec), que l’on a attribué à Mirabeau. L’auteur de Mylord Arsouille a pillé notamment dans Hic et Hec l’histoire de la belle Adèle racontée par Valbouillant.
Voir le 710 : Mylord Arsouille.
Sous de noires couleurs, tel qui peint le plaisir
Ne le blâmerait pas s’il pouvait en jouir.
2 parties en 1 vol., petit in-18 de 138 et 104 pages, broché, couv. impr. avec deux frontispices de Chauvet sur Chine volant. Tiré à 500 ex., sur Hollande. Cet ouvrage a été attribué tour à tour et sans beaucoup de raison au marquis de Sade et au chevalier Andrea de Nerciat. On en a aussi attribué la paternité, avec plus de vraisemblance, au chevalier de Neufville-Montador.
1 vol. petit in-8 de 83 pp. cartonné, sans couv. impr., papier vergé (réimpression, Bâle vers 1875), avec 7 figures libres sur Chine volant.
Suivi de Contes en vers : Déclaration catégorique à ma parfumeuse. Le Prêche, L’Obstacle, Le Bon Père, Le Passant.