Page:Appel - Pésies provençales inédites tirées des manuscrits d'Italie, 1898.djvu/57

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22. Vers trop long. Corr. aura. ’ 23. Corr. gélos ? Il ne me semble pas aussi sûr que les trois poésies qui restent appartiennent à Torcafol. Le style m’en paraît un peu différent, et le fait que la personne attaquée y est caractérisée comme un pauvre gueux et comme un vieillard ne suffit pas pour y reconnaître Garin. Les pièces L’autrier trobei et Aissi con hom sont attribuées à Garin seul ; le couplet Membrari‘us del iornal est attribué, nous l’avons dit, aux deux auteurs. Gr. 162, 3. Mss. D 202, impr. Kleiû, p. 107. V. 17 à 24 Rayn. 5, L55. Mahn W. 3, 276., L’autrier trobei loue un fogier un crol’, onn era us efasmes e la olet’ e dos coures e la noirissa en un gat nier. 5 aquest ostals fon d’un parier, Comunal, qu’i veich dechaier ; . e qant lui vi, cuidei vezer Ruqet, un viel ioglar lanier 2 un •— 5. son. — 14. poinz.


L’autrier trobei tras un fogier
un croille ab dos enfauz mes
en un leit ab dos cures
e.l nuirissa, un chat nier.
aqest ostals fo d’un parier,
Cumunal, qu’i vei deschazer ;
e quant lui vi, cuidei vezer
tu, lait veill iuglar lainier.
8. lais.

Cel, s’es paubres, mal no l’en mier,
q’ieu no.ill tulc ren mas las pares
e.l moli donrendia ses
al paire d’en Poisson Gaifier ;
qe.n dis un tal enuich l’autrier,
donmen, qe no.m dis point de ver ;