Page:Arétin - La Puttana errante, 1776.djvu/35

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de. Je le lui pris à la main, bien fâchée de ne pouvoir le placer où j’aurais voulu : je lui fis connoitre la douleur que j’avois de ne pouvoir le consoler, par toutes les caresses que je pus imaginer. Je le faisois tourner de tant de façons en le maniant tendrement, qu’à la fin son vit se trouva entre mes deux tettons. Je m’aperçus qu’en le pressant de deux côtés je pourrois lui donner quelque plaisir : en effet il se tint là. Je tenais mes tettons un de chaque main ; et son vit au milieu, il allait et venoit toujours doucement et me disoit toujours de presser ; nous fîmes si bien qu’il me mouilla toute. Alors je crus que son ardeur seroit appaisée, et après quelques baisers nous nous endormîmes. Vers le matin, je sentis que, comme je lui avois tourné le dos il m’enfonçoit son vit roide dans le derrière ; je ne bougeai point et il ne me fit point de mal comme je le craignois au commencement ; au contraire, j’y trouvai du plaisir. Il me le fit encore une fois par le même endroit avant de se lever, et durant trois nuits il me baisa plusieurs fois de même me tenant toujours un doigt dans le con. D’autres fois il me le fit entrer entre les tettons, les cuisses, sous les aisselles, dans l’oreille et dans la bouche même. Je me divertissois à tout et lui aussi. Un matin, après qu’il me l’eut fait par le trou de derrière, je trouvai encore son vit roide ; il étoit couché à la renverse, et je voulus avoir le plaisir de mesurer la longueur de cet aimable instrument, et l’empoignant, sa tête était hors de ma main, et plus de trois bons pouces encore. Quand je l’eus ainsi mesuré, je ne pus m’empêcher, quoique j’eusse