Page:Arago - Œuvres complètes de François Arago, secrétaire perpétuel de l’académie des sciences, tome 11.djvu/47

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égale îi celle que lu pompe peruieUnit d’injecter dans te indine temps de sorti ; que la pression ne pouvait plus être uugmentéo. Kw faisant ces essais nous avons en t’occasion de remarquer dans quelles* erreurs on peut être jeté quand on estime lu pression, comme on le fait ordinairement, par une soupape conique chargée d’un poids qui duit <Hre soulevé. Indépendamment de la ditliculté de connaître retendue de la surface exposée à lu pression intérieure, l’ adhérence très- variable de lu soupape, selon sa position, avec les parois de In cavité où elle est reçue peut occasionner des différences énormes, quoique la pression soit réellement la même, il serait préférable d’employer des soupapes planes "tftti nécessiteraient, il est vrai, des soins assidus pour être en bon état ou, mieux encore, un manomètre conique, lorsque les forces de compression ne dépasseraient pas 50 ou 00 atmosphères. Comme il nous aurait faltu beaucoup de temps pour adapter ce mécanisme à notre pompe, et que, d’ailleurs, la haute température a laquelle la chaudière devait être exposée nous aurait encore laissés dans. l’incertitude sur l’affaiblissement qui pouvait en résulter dans lu cohésion des substances métalliques, nous avons préféré la soumettre à une épreuve plus rassurante, en la plaçant dans les conditions mêmes de l’expérience et sous l’influence d’une force expansive plus grande que celle qui devait faire le sujet de nos observations. C’est principalement pour cet essai que nous imaginâmes la soupape que l’on voit représentée en 66’ ( (ig. 9 ) et dont la construction offre l’avantage que l’on n’obtiendrait pas avec celles qui sont commu-