sieurs points de la frontière septentrionale de la France. Ceux qui connaissent M. le général Brisbane ne demanderont pas si l’on doit compter sur l’exactitude des observations qui ont servi à déterminer le temps absolu : on pourra, dans tous les cas, recourir à l’intéressant Mémoire qu’il a inséré dans les Transactions de la Société royale d’Edinburgh, et après cela on ne conservera certainement à ce sujet aucune espèce de doute. L’état de l’atmosphère, les fréquents voyages de M. Brisbane et ses occupations multipliées ne lui ont pas permis d’observer le Soleil chaque jour : la seconde colonne de la Table fera connaître par quels intervalles les retards du chronomètre en vingt-quatre heures ont été calculés,
Marche d’un chronomètre de poche, à tourbillon, construit par MM. Breguet et appartenant au général sir Thomas Brisbane.
Nombre de jours. | Retard journalier. | ||
Du 1er juin | 1817 au 7 | 6 | —0s. 77 |
7 | 16 | 9 | —1 .08
16 21 6 – l .24 21 26 5 -1 .55 26 7 juillet 11 – .12 7 juillet 20 13 -1.72 20 27 7 -t l .48 27 5 août 9 -1 1 .67 5 août 17 12 -0 .90 17 26 9 -0.84 26 7 septembre 12 – 0 .83 7 septembre 19 12 –0 .75 19 3 octobre 14 – o .29 3 octobre 9 6 – .54 9 7 novembre 29 -o .04 7 novembre 22 15 -0 o .16 22 S décembre 18 -o .71 5 décembre 17 12 -0 0 .46 |