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Page:Arago - Œuvres complètes de François Arago, secrétaire perpétuel de l’académie des sciences, tome 13.djvu/133

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des étés extraordinaires par leurs chaleurs, suivie de la nomenclature des étés où la température a été singulièrement froide. Nulle publication de ce genre n’avait encore été faite.

Le chapitre xxvi relatif aux maxima de température de l’atmosphère, observés en pleine mer, loin des continents, et le chapitre suivant sur les maxima de température qu’acquiert l’eau de la mer à sa surface sont extraits de la Notice de l’Annuaire de 1825.

Le chapitre xxviii, sur les différences extrêmes de température constatées à la surface de la Terre, est nouveau ; il a été dicté, quant au texte, par M. Arago en 1851 ; j’avais été chargé de réunir les chiffres curieux que présente le tableau dans lequel M. Arago a voulu faire ressortir les écarts de température que supportent naturellement les corps. Ce chapitre contient aussi les résultats de quelques expériences faites par l’illustre secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences.

Le chapitre xxix, sur les températures propres des différentes espèces d’animaux, a été inspiré à M. Arago par un travail de Sir John Davy ; une première édition en a été publiée dans l’Annuaire de 1827 ; celle que j’ai donnée est complétée par des notes relatives à des expériences du capitaine Back et à des faits observés en Orient par le maréchal Marmont.

Les chapitres xxx à xxxiv sur la détermination et les valeurs des températures moyennes diurnes mensuelles ou annuelles, et sur les lignes isothermes, isochimènes et isothères, peuvent être considérés comme contenant une étude nouvelle, quoique plusieurs notes sur le même