obtient en partant de la supposition d’un décroissement uniforme de densité. En rejetant la constance de la température, M. Bessel a cherché et trouvé la loi qu’il fallait lui substituer pour représenter les observations. Brinkley, à son tour, essaie d’arriver au même but par une modification de la loi des densités. Les différences entre le calcul et les observations journalières sont trop grandes, trop irrégulières, pour qu’il puisse être question ici d’autre chose que de résultats moyens.
La méthode de correction de Brinkley, est une modification, ou, si on l’aime mieux, un perfectionnement de celle que Laplace a donnée dans la Mécanique céleste.
L’auteur se montre si vivement contrarié du désaccord, d’ailleurs si petit, de ses observations avec celles de Greenwich, qu’il les multiplie, les groupe et les discute de toutes les manières possibles, avec l’espérance d’y trouver quelque erreur ; mais ses efforts ne font jamais disparaître les petites parallaxes. Voici les résultats numériques de ce nouveau travail :