Page:Arago - Œuvres complètes de François Arago, secrétaire perpétuel de l’académie des sciences, tome 3.djvu/452

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


« N’est-il pas curieux, dit l’auteur, si mes parallaxes sont une illusion, qu’il ne s’en soit présenté aucune d’un peu grande avec le signe négatif ; que les distances zénithales, s’il y a erreur, aient toujours varié, comme l’exige le mouvement de translation de la Terre autour du Soleil. »

éléments de la comète du capitaine hall. — (Lu à la Société royale de Londres, le 10 janvier 1822 ; imprimé dans les Transactions philosophiques de la même année.)

On trouve dans ce Mémoire les éléments d’une comète observée à Valparaiso par le capitaine Basil Hall. Cet astre, avant son passage au périhélie, avait déjà été aperçu en Europe, |

de la nutation solaire, déduite des observations des distances polaires des étoiles. — de cette détermination considérée comme une confirmation des valeurs assignées aux parallaxes de certaines étoiles fixes. — (Lu à l’Académie de Dublin, le 1e avril 1822 ; imprimé dans le XIVe volume des Irish Transactions.)

L’objet de ce Mémoire est clairement indiqué dans ces quelques lignes, que je me contente de traduire :