Page:Arago - Œuvres complètes de François Arago, secrétaire perpétuel de l’académie des sciences - Astronomie populaire, tome 4.djvu/206

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

1813, 13 décembre, d’après Nordenskiold (Annales de Chimie, tome xxv, p. 78), ou

1814, en mars, d’après un rapport communiqué à l’Académie de Pétersbourg. Pierres aux environs de Lontalar et Sawitaipal, non loin de Wiborg, en Finlande. Ces pierres ne contiennent pas de nickel.

… M. Murray fait mention dans le Philosophical Magazine, juillet 1819, page 39, d’une pierre tombée à Pulrose, dans l’île de Man, sans préciser la date. Il dit que l’événement est certain et que la pierre était très-légère et semblable à une scorie. Elle devait donc ressembler aux pierres tombées en Espagne en 1438 (voir p. 189).

1814, 3 février. Pierre près de Bachmut, dans le gouvernement d’Ékaterinoslaw, en Russie. (Ann. de Gilbert, tome l.)

1814, dans le milieu de mars. Chute de pierres à Sawotaipola, en Finlande. (Kæmtz.)

1814, 5 septembre. Nombreuses pierres près d’Agen (Lot-et-Garonne). (Ann. de chim., t. xcii.)

1814, 5 novembre. Chute de pierres dans le Doab, aux Indes orientales. (Phil. Mag., Bibl. Brit., Journal of sciences.)

1815, 18 février. Une pierre à Duralla, aux Indes orientales. (Philos. Magazine, août 1820, page 156.)

1815, 3 octobre. Aérolithe à Chassigny, près de Langres (Haute-Marne). (Ann. de chim. et de phys., 2e série, t. i.)

1816. Pierre à Glastonbury, en Somersetshire. (Philos. Magaz.)