Page:Arago - Œuvres complètes de François Arago, secrétaire perpétuel de l’académie des sciences - Astronomie populaire, tome 4.djvu/274

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1834, 30 janvier. Bolide à Coringham, près de Gainsborough, en Angleterre, se dirigeant de l’est à l’ouest.

1834, 10 mars. Bolide à Hirschberg en Silésie, suivi d’une explosion.

1834, 10 août. Bolide à Bruxelles. (Quetelet.)

1834, 2 octobre. Vers sept heures du soir, à Cologne, on remarqua dans la partie nord-est du ciel, près de l’étoile Algénib, dans la constellation de Persée, un magnifique bolide, brillant d’une lumière blanche éblouissante. Il surpassait Jupiter pour la grandeur et l’éclat. Il se dirigea vers le nord, avec une certaine rapidité, parallèlement à l’horizon et disparut tout à coup, après deux secondes environ, dans le voisinage de l’étoile η, de la Girafe, après s’être partagé en deux parties. (Preussische Staatszeitung, no 279.)

1835, 13 janvier. Bolide à Berlin, se dirigeant de l’ouest à l’est.

1835, 6 février. Gros bolide à Parme.

1835, 22 mars. Bolide vu de la forteresse de Troizkosaffsk, en Prusse, suivi d’une explosion.

1835, 13 juin. Bolide à Kœnigsberg, en Prusse. (Preussische Staatszeitung, no 172.)

1835, 17 juillet. À huit heures et demie du soir on vit de Milan un bolide de la grosseur apparente d’un boulet de canon, de couleur blanchâtre, répandant une vive lumière, et traînant au loin derrière lui une queue étincelante. Il se dirigeait de l’est à l’ouest vers la partie nord du ciel. Ce météore fut aperçu aussi à Stuttgard et à Bonfeld, près de Heilbronn, dans la partie australe du