Page:Archives israelites 13.djvu/428

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

QQ ancunus îl·l'l'B· u Une partie de nos concitoyens est encore privée du droit de ' siéger au parlement, ou d‘avoir une place dtxgouvernemenl. hs l prochaines élections doivent décider si la majorité des rcçuéseu- tants du peuple sont prêts à abolir ces distinctions inutiles el. N- ' gradantes (useliss and degrading). Le serment. prêté par lesmem- bres du parlement doit être le même pour tons, simple et mu as complexe; une garantie d’uuion et non pas un appel. à lalibr- Eance et à la discorde religieuse. n — Le preuuer jour de la fete des Semaines, h cérémonie de lflnitiation religieuse a été célébréepour la première foisà h- chester. ll parait que ce résultat n'est du qu’à la persévéraucodu rabbin Schiller, que le congrégation a maintenu malgré le man- Iuis vouloir du docteur Adler de Londres. · —-Nous trouvons les détails suivants sur les juifs de Jërusœ lent dans les visites de Curaon aux monastères du Levant : « Il est remarquable que les juifs, natifs de Jérusalem, sont d’une caste essentiellement différente de celle des juifs que nous _ voyous en Europe. C'est une belle race, d’une stature gracieuse, et dont les manières sont particulièrement efïéminées. Les jeunes gens ont une boucle de longs cheveux de chaque côté de la tigure, ce qui, avec leurs robes de soie llottantes, leur donne une tour- nure'de femmes. Les Juifs des deux sexes aiment beaucoup la N lotte, et quoiqu’ils aient un extérieur sa-le et pauvre, on peut les voir chez eux couverts de fourrures et des plus riches soies de dames. Les femmes sont couvertes d’or, et portent des robes de brocnrt surchargées de dentelles; il y en a de superbes, et une jeune fille de douze ans, fiancée au llls d’un rabbin riche _ etàgé, était bien la plus jolie créature que j’ai vue; elle avait le peau plus blanche que l’ivoire, et sa chevelure, d’un noir dejais et entrelacée de colliers de sequins, retombait jusqu‘à ses pieds. La langue espagnole est la langue que les luüs om`ploien·t. généra- lement entre eux. xi · — La question suivante aux érudits: Deus le"1‘7 UB'? TND D*¤1"tt¢ft [D '7"ITU on cite souvent un auteur sous le nous du _ tlvtâîmêb; quand a-t·il vécu et quela été son principal ouvrage? PRIÈRES D’UN (MEUR ISBAÉHIK Pendant que la Société des Bons livres de Strasbourg s’oocupn§ à préparer une nouvelle édition de cet ouvrage si bien accueilli, il s’est trouvé qu’il en existait encore un certain nombre, uratsttb complets; elle a fait compléter ces exemplaires moyeunantle tt- rage d’une feuille. Ces exemplaires sont déposés au bureau des Archives isrcélites et se vendent à l’ancien prix : 2h'. 50 c. •-¤ -¤~•~•¤ . DlglllZ€d ny Google