Page:Archives israelites 13.djvu/506

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500 nanas il faisait preuve envers les astres. Pourquoi, hélasl nous a-t-il quittés si tôt ‘l Pourquoi les larmes d’une mère et d’une ûlia se meiant aux nôtres, n'0¤t-elles pas trouvé grâee devant Dieu ‘? c’est que sa tâche était ünia ici-bas et que Dieu ne retient pas le salaire de caux qui ont travaillé pour lui. Le cœur brisé par la douleur, la corps par la soulïranee, l’âme puriiiéa par la sagesse et la piété, il était mûr pour le eiel. — Adieu donc, vénérable pasteur, ton troupeau désolé te prie de jeter sur lui un dernier regard et de lui envover tabénédiction - de ces régions bienheureuses où tu goûtes maintenant les dou- ceurs d’un repos si bien mérité.

CULTE. PBÉDICATION. U LA Illnl. ` DISCOURS DI I. LB GRAND-Rankin D’AL&Bl. (Voyez n' d"a0ût, p. 423). Neue avnnsparlê de la charité de la jeune Elia en citant l'e:«— empletlelobecoa. Isis ii est une chntitô qui est votre bien, votre propriété et que personne ne saurait remplir à votre place. Noa sagas la eonprüent bien ainsi, et ies pères de la synagogue sms en ont atüugi la palne aven cette ùanohise etcetta sérénité qd loaearactlriasnt. line sara pas inepportun deraaaoiterlo pas- Bill qui pkahuo une verité si Battsnaa pour vous. La legends l 1·alùü1iqu•raa¤tsqu‘unjoarl¤résonaisada<iaipasainnt fesniwtlaplaieqnsçant pnrssnabsaaaa dataiueriatarsv sainte etsühddtsats daveüriapsoiadelsh¤ina,•• s’aü•ssa ühüahühg o6Bhr•pu·•piét6,œ¤;ilér«!eouu1•¤ah¤¤n• sahtseaçhblunàaignsur. Bau rùbiaslni inst dépdù ptbpsüa dapndsa aapitié l’âtudsssaI¤i•d¢d’ü¤ü· Digitized ny Google