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— CULTE. * PAIHB AZIIH. ·—···· LA SYNAGEGUB REKTUGALSE,. — SYHABQGHY jm, IE!]. —— COIIIHJNAUTÉ .DE. TDDLUUBE. Tous les ans lt l’approcbe de Pâques l’adm‘inistration tsraélite se prèoccu‘pe·‘à`Pàris comme ailleurs du soin de donner gratuite- ment au panvreie pain azyme dont fusage est prescrit sa Tisraë-1· ` BIE, UHQE QUi 8’E8I. COUBEFVE È (I‘3VEl‘S IES SîEQiE8` OOUIIUE tout ceqm rappelle la conquête de la liberté. On a dans ces derniers temps agite la question s"il ne serait PES COBVEUUUIE, EU IUEIDE i.EIIÉlp8 QUE ]’EdmiIllSI|'3lî0U UXE UB t minimum pour le prix de ce QUQEHE paye le pain azyme qu’elTe donne au pauvre, qu’el|e obtint également un maximum pour la ` dm son 3 (îbjECIiE· QUE CE BEUR È UDE (EXE QUE YEU- torifé seule a ie droit d’imposer pour le pain en général, mais qui tfauraît aucune valeur de la part d’une simple administra- don religieuse. ` Cependant n’a—·t-elle pas toujours l’autorité motïle, par la pré- férence qfelle peut accorder pour la fourniture 'a faire au pauvre, et c’est ce moyen qui tot ou tard doit prévaloir, savoir: ne traiter qu'!vec lesboulangers qui se contentent d’un sacriüce moindre. 5