Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/127

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` nsxxrnrrts. 117 cuite soit célébré avec convenance, que Pinstrnction religieuse soit répandue et cpe le rabbin oule·m repré- nenw ügmemt le culte. Clœr inûisponsable en tout temps, mais ·sur‘tont dans le notre où l‘esprlt de prosélytisme se réveille. Déjà Padministration pràidée par Phonorable M. Sinon, it- üguée de voir le peu `fuccuël fait lr ses ropuùeutaclons, fol déthoîle sesïouctlons, bien dérldée à ne les reprendre que lor§q'u'il Y aura un rabbin ou ministre-ofliciant digne de sa place. Cette circonstance doit faire rédéchir le consistoiro, el noummmt M. lc<grand·r·abbin de Bayonne. lons ajouterons que le conseü municipal de Toulouse est animé des rùeïleures dispositions pour cette communauté, et que si un rabbin y est appelé, il aura certainement uuc·all•·- cüion de la ville. · · Quand un songe que c‘est la rihe où au moyen-ëâge le syndic

 israélités était périodiquement frappé en plein Capitole, ces

bonnes dispositions de la ville rendent d’autaut plus impérieux de laparrde la communauté isreüe le dumb- d’g répounlne par Yexerclce du culte; elle ne demande pusmleur. Cest au ° consistoire de Bayonne (Ty prêter la main, et 'd’appeler un nou- veau titulaire auxïfonctions de rabbin. · S. CAHEN. - · e MELANGES. · » LES ARTJSEFES ISRAÉLITES au ssnom ou l'85û-*1851. A ' “”""’.W‘ 'chsquermnéé, nous 1“aveuons,- ou plutôt cûaqno ïdls sqnc les pwduoüonsde Part ex·pueées*a¤u public, cemmnsw cherchons avec le plus ·üe*cnrlu¤î!è- duties murs Qalouçct ¤¤nt·Ios·œ¤=•rw&e ms*o•re§§•nnnl1~œ;··ce gnomes lhouuvec hplns dünxiétédmksmûtiquosdeuionüguëœparülzüam riœ , Dolecltrze , _etc..., ·c’est Ywréclatlon ile ccsrmémer œuvres: uuus mineur a wcetre mulœmueuee*P¤cnilre` Hi