tSntt.t't·ss. l 25 e les genres, et plusieurs d'entre eux montrent soit· par la*natnre deleur imwn, suit-psrleclnoix de leurs sujets, qu'iIs»som l S _ l r 4 , Qîest maintenant a nos coreligiennairaa haut placés pu. leurs lumières, leur fortune, leur rang,. qu’il apparttent. surtout de récompenser les talents déjà murs, d’encourager les talents mîssutrts; de soutenir les talents en germe, d’exercer en un mu unesorte ds patronage artistique.: nous avonmsonrœt pensé qn*une,itnpulsiou— venant de haut et aüssant elec puls- sance serait féconde et bien accueillie de nos artistes. Pourquoi l’nn de ceux que la_ Providence tt si richement dotés, pourquoi ces familles opulentes qui, à Paris, à Londres, a Athènes, pra- tiquons déja la charité sur une large échelle, encouragent si. Qüëemcll lethplblitntious sérieuses, ne se propossraieneelles pasla fnntlntion d’nne bibliotheque, et d’une galerie destinées principalement aux œuvres israé ites'! Pourquoi ne pas com- niander fréquemment a nos artistes de talent des sujets pris dnnsnowe histoire et dans nos malheurs? Pounqnoiest-ee en-· cvucettnunnée uuphéuomene unique que cehi d’u¤ tableau fait ~ unsitstaélite surt un sujet israélite eucommandé par, un israéiifell y a dans l’Ancien·Testament let dans nos persécu- tions séculaires de quoi inspirer plus d’un artiste et orner plus dïnw Slhûllaî Si leulweeqni précédent avaient le don d’érei ller ou de-lons lille!-dans ïâtne des isreéütes opuleuts auxquels elles s’adressent des désirs, des intentions de ce genre, si elles appelaient leurs regardsesnr la détresse honorable de quelques-uns de nos ar- tistsssdék dont les œuvres sont encore insufûsammeut réttibttéwaz celui quiles asécritaes se croirait ûloment ré-4 compensé, et se serait rendu doublement utile a , l’art et·au Judaïsme. Pour lui, en leur offrant le faible concours de sa , plume; il aüpruvîsoirement du moins, essayé d’acquitter·sa dette; mais u'est 1 une -de·—ces.dettcs qu’on acquitte toujours sales ·
etsquiutt nescnoitî jttmeiravuîr stlülummenszpagtéus.
, l Istn. CAREN. RECRUTEMENT DES ENFANTS ISBAÉLITEB: BN ·BU$<E·, Voici comment s’opere, sous le sceptre paternel gle«l’etnpe,rq¤,r Nicolas, le recrutement des jeunes israélites de l’âge,de ttonze a quinze ans, La localité où Popération avoir liétt est dliherd entouréede sntdats" prets tt sévir contre tout récalcitrant. Qette première précaution prise, on pénètre dans les maisons israélitçs
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