Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/167

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tsnatwrns. 157 soient les aberrations de cette imc , ne porte·t·elle pas toujours la sublime empreinte du Créateur 2 scuunuî. Oui , mais c’est précisément où je t’arréte. Celui qui a déche- I|0l'ê CBIIB image IYBSI pli]! IIIOII fl‘èl‘B. LB C0lll8m])f0l1I' de Dîéll, l‘homme BARS COIlS6î0IlC8 Bt Sun! I1l0l'3lO 0,8Sl pû! Ill! îsfûélllû , ll°88t p38 lm hûml-ilè, IYBSI [JAS mOn pfûûlîlàlll , - lil lûî diimûllf ’ faite ur lui. ‘ B 68* Pas P° I P Mou ami , déûons·nous des généralités, elles sont l’écueil de la faiblesse humaine. Ta vertu s’indigne contre le vice , elle fait bien. Mais le vice est une abstraction, et si tu le personnifies dans un DOIIIHIB, dûI18 IJIIB GFÉAÈUFB VÃVEIIIIB Bil Chdîf Bl; BB 08, ill GOUT! grand risque de te fourvoyer. Le vice est odieux , sans IUGIIII dtllllû 2 I1l&î8 tel hûllllllû qllü Ill crois YÃCÃBIJI OB Cûllpûblô, 80·i·ll _bien sur qu’il le soit? es-tu biensûr de valoir mieux que lui! Et Qllàlldbîcll lllêmû lill SGFBÃB 8ûl' d8 688 dci}! 6110888, 8|î*··¢B une raison pour Pabandonner à son malheur'! Tu ne lui dois pli]! IDD Bâllmci soit; ill lill (l0l8. OIICOTB |·0i1 àmûlll'. Liülllllb est facultative comme la confiance , elle exige des preuves, elle

.3 le d1'0ii de S8 l'6fI1S€l° 2 Phlllllûlllié B8! URB dcffc, BUG lliàdmûli

rni exceptions ni réserves. Or, je regarde le vice comme une ma- rhdiûg Bi IG Dédié COIDIDB lill lD3lh6l1I'··· La PBSÈB IIIBSà Hi odieuse, est horrible; elle aussi , apres avoir déformé la face de l'h0¤1¤1e, finit par démoraliser son cœur. Repousseras·tu pour ` jela le pestiféré, et, médecin, lui refuseras-tu le secours de ta science! Ah l si nous ne devions aimer que celui qui n’a_ jamais Jailli.; Bl HOIIB B0 dBVî0I1S aimer ql}6 l,}lOH|m·6 paffdù ,J Cfêâillfc Ãtlülê GI lmpûülblû , 83118 UBB 6l'l'6IJl‘ d3l`l8 88 Oûlldllllê, BIBB Un IQQTBI SUP BH COIlSCîBI1CB, 83llS UBB 0lIlbl°8 Bl.|l° 88 Vlê, ROUE l)'&l·· JBBTÃOIIS PBFSODBB, à GOIBHJBHCBF pl! D0l1B•mêlIl88l NOR, S€·h&HI· maî, il ne faut pas haïr le pécheur, il- faut le plaindre; il ne faut pas le fuir, mais le guérir; pas le condamner, mais se mettre à 83 plaœ. LB jtlgclllüllt Il'8pp3I‘Iî8|1t ql1'à Dîüll, C'88t DÉBII Illêmü quil’adit(1)l _ _ I F ïlwl il DIIL I;11} ûullf. liillaül BN *5 2 Wl-