i rsutmns; il'? lesquels ceux qu ont pour objet de tracer un tableau triste mais fidèle de l’état d’abaissement où se trouve encore la civi- lisation dans les grands foyers de la population juive en Gallicie et dans les prlncipantés hongroises. méritent d’autant plus d’étre lus qu’ils nous funt mieux apprécier la valeur du régime con- stitutionnel, égide protectrice de le tolérance religieuse. Quel- ` ques essais dramatiques dans la onzième, et des vers satiriques sur la duplicité et Pindiüérentisme, considérés comme traits caractéristiques de la lâcheté, recueillis dans la dowtue livrai- son, font seulement regretter qu’ils ne soient pas complétement achevés. Dans l’une et l’autre de ces deux livraisons, la poésie légère a sa partie la plus large, et Pexégèse occupe dignement la place qui lui est assignée. L’expression d’usage « la suite prochainement · qui se tltouve à la tin de quelques articles de ce recueil, et l’annonce par laquelle les éditeurs ont terminé la douzième livraison, semblaient promettre la continuation de cette intéressante pu- blication; mais quelles sont les promesses qui ont pu brave: les événements de 18h8, et combien d’autres astres que les étoile: d’I.saoc ne se sont pas éclipses dans ces régions, pendant le peu d’années qui nous séparent de cette publication? .... Mais espérons. Post nubüa P/tœbus ! · Bruxcllœ, févr. 1851. H. Souunnauszct, D' phil. mm- Emenn. ms '7:lt:> *11:1 vsn psp tam ` . mn: ‘7m ps u'm:n ns: · g ‘ v tn B: n~‘7:n1_¤1D'• 5: rnwm un .··:·n:'w mn n'·1·•5 na ur tn: D"lD3f 'lD'li3'• *2. .1Dli7'D* ¤"3ll¤ *3 .¤•¤3_n nato ~'J pas-*0:8 '•'7 vtyvhtvs Tllliï prnnt *'lll7 hnn 'pmt J O . YWWH [El pl'l"ll~l’l P*‘lll3 'lfllbl
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