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v L. Wocun. ` Eronns Monanns son LE x1x· smcnn, M 1 vol. in-8°, PARM. Is. CAHEN. L’ouvrage de M. Is. Cahen, que nous avons annoncé dans notre Numéro du 15 février dernier, a provoqué chez nos core- ligionnaires les plus vives et les plus honorables sympathies: sans vouloir insister pour le moment ni sur la valeur d’un ou- vrage qui ne paraîtra qu’à la fin de cette année, ni sur les adhé- sions qu’il a déja values à l’auteur, il nous est permis de rendre un public hom mage a la libéralité des israélites de divers pays qui voient dans cette œuvre, non-seulement le fruit de con- sciencieuses études, mais encore la plus convenable des pro- testations contre l’intolérance des uns et la faiblesse des autres: c’est ce qui donne aux souscriptions adressées a ce livre une valeur et une signification toutes spéciales: nous pouvons, sans vouloir dresser une liste exacte , mentionner dès aujourd’huii parmi les approbateurs les plus chaleureux du jeune écrivain , M. le baron J. de Rothschild, M'“° B. Furtado, M. J. Javal,à Paris, M. le baron J .-L. de Goldsmid et M. Mocatta, a Londres, M°° la du- chesse de Plaisance, a Athènes,`M. G. Trieste, à Padoue, M. Vitta, à Lyon , M. Lax aîné, à Saint-Étienne., M. J. Altaras , à Mar- seille, etc., etc. : si nous citons ces noms, et nous pourrions en citer beaucoup d’autres, c’est pour montrer la part que le sen- timent israélite toujours vivant a dans ces nobles encouragements, et pour prouver que cette solidarité active, ùztsrwelzyieuse si l’on peut s’exprimer ainsi, qui a bravé les temps, les distances et les persécutions, `—n’est pas encore près de s’éteindre : il faut s’en féliciter hautement, car elle a été féconde en œuvres utiles et peut l’être bien davantage e¤¢0t·e par la suite. ··--—————·—-•îO•§¤l¤·•-····· e
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