'20 nnenrvns · · nacent de ranger la société jusqu’anx os; |or_le socialisme et le communisme nesont autre èhdse que Papplicâtion des doctrines du probabilisme; le prohabilisme découle nécessairement du ·,Ã@¤¤ilîIN¤âi•¥Jé$Pil¤8 sont la nelîonniüûtltien de l’e3|Iii ehré· tien, et le Christianisme parait, anus sa, plume, la plus haute expression du monothéisrne. En d’autres termes, le monothéisme a dû nécessairement arnetier les peuples au socialisme et au . communisme, et les socialiste! d• nos jours ne sont que de _purs jésuitœ, en faisant toutefois abstraction de l’idée de Dieu. Telles sont les idées que M. Lacour développe dans une thèse de 79 pages. Il s’écrie d’un ton pénétré et presque de désespoir: « Le socialisme et le jésuitisme vivront donc, il faut en prendre s son parti; Pessentiel est.de connaître le mal que l’un, et con- · séquemment Pautre, sontcapables de faire, et de veiller pour · empécher ce mal. Ils vivront, parce qu’il est évident que, » pour les détruire, il .faudrait abandonner la.cause qui leur a · donné l’étre et qui-les protége. Malheureusement la société n moderne est posée de maniere à ne pas oser regarder cette . ,»_cause, et encore moins la toucher; car, pour que Icette cause ln cesmt d’étre, il faudrait que la société cessat d’ètre mono- · théiste, ou que le Christianisme devint polythéiste. Il faudra » donc, que la société se résigne, qu’elle périsse ou qu’elle reste » i en danger de périr. » Il cherche ensuite à démontrer quele monothélsme juif, chrétien, musulman, est essentiellerrient en- nemi des arts , _de lacivilisation _, dela propriété, de la famille, du sociabilisme, des nobles aüections, des sentiments gênêtjeux 5 ,c’est lui qui a précipité les nations dans la barbarie., Lewpply- théisrne, au contraire , les en a fait, sortir, etciest it Lui, qu.’3n·;· partient tout ce que les hommes ont enfanté de beau, de grand, de généreux, de sublime en tout genre. Il s’ell`orce de le venger tl,°Ute‘atlaque de Chitleanhriand qui, dan&_§0n` G1.Ãm`¢ du chris? ¤b¤i¤¤l.·l’a dtiiilî t.Un wüe de animee. du gnu! launch un mrnqnnnnwdfùumà-. dïnuptdiquor nde blt••f6• races ;· nous convenons qn'il a hun marché du céiébre écrivain, . car il est facile de combattre 'toute opinion exagérée; au,reste, tilaâteauhriaud ,u’a pts pris cette assertion. au sérieux; comme M. Lann! le reconnaît lui-méme, car ses Martyrs peuvent- ètrt
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