Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/31

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tsnattntrns. ti CODBHÉFÉS `OOIDIDB UI! ÉIOQUÉUÉ pl8ldOjBl' BU FIVBIIT dll plgllllülllû expirant. ' ' ` ` ` Nous DE SUlVl'OllS PIB M. Lacour UIUSTOUS Sl!S`Uê`YBlOppÈl]€Dl.S ; ceci UOUS IIèllBl*3lî l)èi.lUCOU|) IFOP loin Q Clêpëlldâhii UOU8 UB pouvons nous empecher de signaler la faiblesse ou la fansseté de ses principaux IIIOYBUS (lé PFBUYOS. ClI0llS—€ll q.l€.lqUB8-UIIS. - Selon lui, « le doute appartient au polythéisme, il exige la plu- n lïllllë; le pfûllûblllâmû 3pp3'l‘lî€DI IU IDOIIOIUÉIBUIÈ, il BUPPOSB ii Ylîllllë. Le ])OlY(hÉlSlIlB disait: Le dûlllt ¢$l fe C07|’lM·8)lC¢‘m€It¢ `n dé la SGQGSJB, et le monothélsme dir: La Cfûtllft de Dttett E3! A le Uûmmëîwhhéhf dB' tt! JGQBSSB. ti oublie (IUC DBSCGPIZGS, ‘B lDOllOIl]èlSlB, 3 posé le doute COIIIIDB le fOll(.lBlll¢l'lÈ UB toute la ])l1llOSOpl]lG, Eli IIOIIS COUIlHlSSOIl8 de SOlldB8 èCl‘l7&ll`lS BI de PTO- fOU(lS PBHSBUPS qllî, CODIl‘3lI'BlÈB€IlI È M. LBCOUI', OUI prouvé que les erreurs qui amigcnt la société moderne procèdent de ce principe cartésien. — M. Lacour établit un parallèle fort cu- rieux entre les conséquences déduites de la doctrine du proba- blllSl1'l€ BI les BCIBS (198 ·SOCl3llSiB‘S, BI ¢,8SÈ p€l1l·êl.l'8 la p3I'll8 la pl�8 îUlêl`€S83l1l8 Bl la plus Vl'3l8 UB SOI'! IllêI1l0ll'€; mal! B8 s’aperçoit pas qu’îl joint sa volx à celle de l’église chrétienne

 3 Oûlldûmllé lldlltûlllèlll Bl BX[)llCiI€Il]€Ill. les d0Cll'lll€S BI`-;

TOIIÉBS (jllîl Slgllâlé. —- Pour plfOUV€l' (IUC lt} lll0IlOl.l`lélSil1B est ennemi des arts, il remonte au J uidaîsme, et rapporte la prohi- blllûll (hl Décalogne: Tu fit? te féfds tf ltlüééë, BIO. } mais il a soin de supprimer le verset précédent et le suivant, qui témoignent qu’il était défendu de fabriquer ces figuretrpour IGS ûdûïêf GI PONT [63 6€|'Uiî‘; autrement Moise lUl-IDÉIIIB GUI été le premier violateur de sa loi, en fabriquant le serpent d’ai- rain et les Chroubim. — A propos de peinture, d’architecture, (lt! SCUlp(lIl'B BI de tout CB qU’Oll GSI OOUVEUU, depuis ([Il€lqUB temps, d’appeler liart chrétien, il demande s’il existe réellement un art chrétien. Nous demanderons, nous, s'il existe réellement un art paîen; car nous voyons qu’il a confondu l’art grec avec ral`! p3ît‘Il. LES Grecs Élîllclli, dB toutes les U3ll0IlS de PUlllV8l‘8, les pl|]S llCI1I`€US£‘lll€Ill 0I°g€llllSêS pOU° l)l€l’l S€lll.lI° et COIIlpl‘€Ildl'8 le beau dans les arts; mais est·ce· bien au polythéisme qtfils ont dû cette faculté ‘? S’il en était ainsi, pourquoi les Romains sont-