F2-92 Anuntvns _ Sous ses longues rigueurs se cachait sa tœtlresset _ Comme ou épure l’or, il éprouve la foi; - Sion! ne pense pas que ton lilieu te délaisse: ` ll médite le jour qui va luire pour toi. _ ï (jeunne israélite et comme écrivain, on est heureux d‘ap· ' plaudir à de pareilles idées, exprimées en un pareil langage, Mais ne vous yjrompez pas, les beaux vers de M. Pétavel ne sont que le texte ou le prétexte d’une'prose incommensurable qui les suit sous forme de notes, et qui ressasse, qui délaye. qui accumule contre nous, tous les vieux arguments de la sco- lastiquc conversioniste. S’ils ne frappent pas comme la foudre, selon Pcxpression de Quintilien, ils éctusent comme la grêle; et encore ne_ sommes-nous pas au bout. La Fille de Sion doit avoir SBÈT chants; deux seulement ont paru, et comptent en- semble, notes comprises, 730 pages! ! !·ce qui nou$,|>tumet,· si la movenne se maintient, un jolipetit total de 2555 pages pour les sept livraisons. Ne trouvez·vous pas que ce nomhre·SBP'.I.‘ u quelque chose de biblique et de sacramentelï C'eSt presque un argument de plus, ni meilleur ni pire que les autres. ·Na- m¢¤’0 Dew ïmpufe gender. Maisnous doutons fort qu’apt:ès les six périodes fatidiques de cette laborieuse création, la septième doive couronner son œuvre. , I . M. P. se qualilie « Un de DCR fnèfes dans la fai au Messie. » Nous le disons ,à regret à Pbenorable éorivün, nous répudions cette fraternitéeli.-Notre frère en Dieu et en humanité, il ne l’est pas en messianisme: des dilïérences radicales nous séparent. Notre lliœe doü venir, le sien est venu. Notre Messie doit etre un homme,- un eùzt de Dieu, précédé par Élie; le sien est Dieu lui-même, n’a jamais été oint, et a eu pour précurseur Jean, que son Église surnorrnneBaptiste, que lanétre appelle Apostat. Notre Messie doit réhabiliter Israël et son dogme, le sien et ses adhérents ont persécuté l’un, ont mutilé l’autre. Notre Messie doit établir sur la terre l"unité absolue de Dieu, Punité du genre humain, la paix universelle et la fraternité; le sien.... i Ne poussom pas plus loin ce parallèle: lncedo per ignes Suppositos cineri doloso (1). (1) Hor.,liv. 11, od. ’l.
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