· rsnnntrns it Quntà nous, namcroyenrqumle uùhà-etle cumin- uisme sont bien antérieurs aux jésuîseset au Christiailisme. Bien plus, ce sont lm polythüstes qui nous en ont donné Pexemple: témoin Sparte oùluennmuimeétait largement upnlné, les soclaüuasdont Arieteplrune se moque! agrhllauent ms ses comédies, la république de Platon, le communisme de la mer dnSud,etc.Si lessociilistœ modernes fout Papologie de la conduite du Ilohupierre, de Iam, de Couthon, de Saint-Just, cotme H. Lacour s’en plaint légitimement, la république ro- malnetoutœtièreapréeonhélesdeuxlrutm. ` _ Ifabbé Bmrrnzrtn, ‘ Cvtl d’Herblay (Seine-et-Oise). A Monsieur ile réducteur des ÃBCH|Éàs __ Monsieur le rédactmr, ' ‘ Vous avez bien voulu vous occuper de IIOII Rituel de prières (ty-rps 51;; nhpn), je vous en remercie. Votre tâche n’était pas facile, Monsieur; vous avez eu à con- cilier des intérêts opposà : ceux d’un ancien adveruire et ceux d’un vieil ami, satisfaire à l’un sans trop nuire à l’autre. Vous vous étes tiré d’alhire en homme d’esprit. s . , Cependant vous me permettrez quelques observations et je compte; Monsieur, sur votre impartialité pour les admettre dans votre plus prochain Numüo. Yunepenaes que j’ai niedans mon Rituel une foule de cho- ses que bieudos üdèhs même ne réeitent plus, et vous me si- gnalez tout d’abord la formule ·nn• DU}? au nom du Dieu mn'- que, et les quatre versets du psaume 36 : wpvmg que tes grâces sont précieuses, 6 mon Dieu! · Vous savez, Monsieur, que nous devons réciter la formule "|’11'llW `ggw'7 arant de nous acquitter de n’im.porte quel devoir religieux. Il Y a là une moralité que je n'essaierai pas de vous expliquer. Les chrétiens nous ont emprunté cette formule, en substituant a notre Dieu mique leur Dieu triple., et l’en£ant à l’école chrétienne ne commence pas mêmesnu A B C sans faire sa croix de par Dien, en disant : Au nom du Père, ere. C’est une raison de plus, Monsieur, pour conserver notre antique formule : Au nom du Dieu rmùyue. On peut appeler cela guer-
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