Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/366

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35 ;$wn Il estun, unique est sa loi, Le peuple unique est son symbole. Dam- NOUS BU}; nrzpb Frères! saluons la journée Que décors- unvdeuble rayon : ` Terme de lacréation, Et son œuvre prédestinée. · Dun ivousvmütœ, etc. °"P¤ Cité royale, aujourd’hui veuve, Relève ton froutrassurél Assez soulïertl assez pleuré! Dieu va linlr ta longue épreuve. Dmu nous mmmvs, etc. · Wîllnh . Reprends tes vêtements de fête, Secoue et ta cendre et ton deuil! Le lils de Jessé, ton orgueil, ` A tfalïranchir déjà s’apprête. Dmu nous mmmvs, etc. ?'l'l`lPl'l•'l Debout! debout ! l’aube nouvelle Sc lève à l’horizon du temps. Debout !... et bénis par tes chants Le Dieu qui sur toi se révèle! Dnsu nous mumvs , etc. um:¤nv·¤'·7 Toi qu’en vain Popprobre dévore, . Pauvre peuple en hutte au mépris, .. Sèche tes pleurs! de ses débris - Sion renaît plus belle encore! Dmu nous nsumvn , etc. WI'! Ne crains plus leur haine jalouse; Tes vainqueurs fuiront à leur tour.