Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/395

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tsluns. É ÃRÉII périodiques ne foyer dela lei d`|'st·•ël prouvent 1 lthnpinuwt qui rnissnit dans une croyance connunetn au bonnes dispersés et fervents. Pendant toute la durée de l’empire romain, hs Juifs üredtb ûequeuts et terribles elerts pour reconquérir leur indepen- ùwe, pour défendre leteuwlesuëutet lesritesdeleuesnsi- tres, et ce-'soue el`aduni·rabtes pages que celles de Ylrisrsriei bsêphs racontent les muüeurs et la ehtede léruenlenr. Vain- eueet gardés à vue perles légions rums=in¤es,ils pretestnled encore, et lersquele temple détruit ll! placent! cirque pales-, les vieillards, les enfanœ et les femmes uelretè1·eutau·x ssldstl le droit de pleurer sur cette terre souillée, sur ce tombeau deleer liberté. Désormais les Iuils étaient sans patrie religieuse, et l‘eur‘Tem·- ple, cet illustre symbole de la foi cffsraël, ne devait plusse r&· l'ever;· mais cette foi u"en* était pas altérée, et leurs rabbins et leurs docteurs n’a·vuient rien perdu de l’aut~oritê de leur parole. Is frzrversërenr ainsi plusieurs siëeles, ttrnfdt persécutés, tant! inspirant aux autres peuples une sorte de curiosité adïuirative, mais ayant cessé d’être comptés comme nation. Le- eode·t1rêsd'o~ sien les arail plucésnéanmoins sous la commune prot·ection• des lbiirde Vampire; ils en avaient obtenu le libre exercice de len! culte, la dispense de tout service personnel le four dl: Sabbat, Faamrismion d"excreer les professions libérales et la lbculldde posséder des propriétés territoriulesetdes eselaveszllbis cesill- llertes civiles ne·l`es dédommngërerrf pas longtemps de leruine skieur iudlélpend'ance·p<1l`itlq·ue. Le christianisme, d‘erenu'puis·· stent, l‘es·rejet%rbient9t en dehors dh droit commun. Le cod'e·et les nacelles de hnstinien leurinterdirent la fhculté cle lëguerfeun biens purtesmment, de- posséder des esclaves, de- remplir des ‘ functions publiques et de eoustru·ire· de nouvelles syuagogues. Pfiglîse cllrélieume; Jbberd persécutés et proscrits, proscriveit mon ` À chaque nouvelle peerséeutlon qui frappait le peuple juif, ln sages et les docteurs se répondaient dans toutes les cotmvéersi s’éIevail une synagogue poury ouvrir des écoles publiques et recevoir « le didracllïne iinposé aux Juifs dispersés, pour les be-