Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/397

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

t nsssntrrss. 387 |'l'l*|"l —- Emcuu. 813.1 'l*¥* *73 D"lU fttftü tb Ut 8113 'ti'tR'lD`| 'PZPJU *7B"|11't [JD simu se'7 vn '7: 111: nm··c:·qm i't*'I'*'I|'t '1'|T|'t’ |"‘ltti't *732 UU`|W* g 7 n'7¤v1 nn *711 mvzm ¤1 *711 .1i'1ht"lD HJPJ1 . NDT qu 'tB`|.l .l'lD**73 !t'|l'i '|D!'11't 'tRlJ3 *7Dfl '|'i|"l* .nm¤¤ um: ¤*mc1 '|l•t'|33 *7:17 q1*7n• Le mot de la clnarade précédente (l) est UND. L. Wouun.

CORRESPONDANCE. Mousmun LB Rtnscrsua, sllme serait facile de répondre à quelques-·unss des observations que vous a suggérées, dans le dernier No des Archûm, ma nomination de professeur a l’école rabbînique. Je n’en fais rien. A ces sortes de discussions, la dignité personnelle a tout à perdre et rien à gagner. Partie intéressée, je dois m’abstenlr. sie n’ai pas non plus à me constituer le défenseur olllcleux du Conststolre central. Certes, son choix m’honore d’autant plus qu'il a été entièrement spontané; mais si j’al mtsslon de le justiüer, c’est par mon travail et mon zèle, non p run otscux plaidoyer qui ne serait, en déllnttlve, que l’apothéosc de ma vanité. sOr, la vanité serait d’autant plus` déplacée tcl, que, mieux que personne, je connais mon lnsufhsance. slon seulbnt, en vous adressant cette lettre, monsieur le Rédacteur, c’cst de rectifier une erreur ou tout au moins une équivoque qui a déjà donné le (I) N• 13. p. 857. Une correction mal comprise y a occasionné deux fautes typographiques z ligne 1r•, il faut lire jpb, et ligne 2, 'tym. _;