Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/43

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tsnsnnrrns. se ismàrdmedstuleo eeehdt uuportanttl COIKIIQÉOIFHU •pt•r entre lïtülssagteç et Vittlldélité envers des W|\WBÉON¢DU |tt’î¥ le connaissent pas? Uirrélignon ne dcrient·ctle pas une nécessité Ptllll enst West-elle pas le fruit de votre négligcucc? Avez-vous bien le droit de les soumettre `à cette nécessité? Vous appartient-il de leur imposer vos

 et de les mettre dans Yitnpntssaoce de les apprécier, de les est-

trdler etats les meter si elles ne leur conviennent past Lspsterultdpcb elle vous conférer ce pouvoir exorbitant? Quelle; que soient donc, pe; trères, les dispositions de votre cœur, vous ne souriez, sans vous rendrç coupables, négliger d‘in culquer à vos enfants le sentiment religieus, dé la élever dans les principes, dans les convictions de l’israéllte.—Pour y gussir, il ne vous sulttra pas de teur faire étudier negligemmeut, avec indifférence, ees recueils incomplets que vous mettez entre leurs mins ot qui offrent une si chétive nourriture à leur âme ardente, Une pareille éducation ne peut pas étre le fruit des rares et fugitives exhortations ` d‘un instructeur. Ce n’est pas sur les bancs de l‘école que s'achèvera Pélseutieu religieuse de vos enfants; Bols à l‘ombr• du ten paternel, tttù les regards vigilants d‘uu pere, i la farceur les pieu! exemples dits mère. Oh! qu’it vous sera difdcile dtaccompllr le saint devoir dont je vous. entretiens ! Ne néglige: donc pas d’empIoyer—, au moins, les moyens que vous avez à votre disposition. Vous pouvez, dans votre communaute si riche en ressonroes, assurer à la jeunesse une instruction religieuse solide: il ne tient qu‘à vous d’entourer cette instruction de tous les svuns que vous mettez à assurer le succès de tout autre, de Pentourerde toutes les selennités et de tous les honneurs qui, au prout de Péducsttou de vos enfants, stimulent si bien leur émulation. Ne permettez pas que ce temple soit considéré au milieu de vous comme un objet deluxe etes vaine ostentation. Ne permettez pas que ceux qui sont appelés à y rehaus- ser le service divin de l’éclat de leur talent aient pour but de plaire aux visiteurs que la curiosité vous amène et d‘obtenir leurs félicitations. Faites bien entendre à ceux qui sont appelés à chanter ici les louanges de Dieu que vous n‘avez pas voulu leur ouvrir, dans cette enceinte, une scène riehementdéeorée, pour qu*ils puissent, au prolltde leur réputa- tion, mieux étaler les agréments de leur voix et les ressources de teur went; mais pour qu’ils puissent mieux faire passer dans les cœurs des ldeloss par tu majesté et la douceur de leur mélodie, tout ce q¤n’it y a de majestueux et de doux dans la connaissance et dans Fumeur de PÉ- terncl. Dileâ-leur bien que vous ne voulez pas quon tasse, entendre ici ees cttantsptgofatues qui rappellent des souvenirs si peu favorables à le prière. Ne leur laisstz pas perdro de vue que pour_ dignement eététgeg les solsrmités d u Dieu dlsraët, ou milieu de son peuple réuni @· Pa- dorer, il ne suffit pas davoir du talent, il faut surtout de laposte. s Nous 11'avons rien voulu retrancher de ce beau passage plein dg vérité; très··bien egprimées. Mais il est probable que si ceu!