ARCHIVE lSBAELl'|.`EB· = SOMMMIE. ——· Gouin. Le Judaïsme à propos du Kippour. ·- 1 làmuoes. Uomco pendant les dernières solen nitos dans- les tomplssdo Puis. ·-·Éooie de travail de Inlï. —-· Lsshih ïrtbyssinio, par I.Phil¤:¤è•¢Luu¢¢es. ·-· Éniwleen hébnen. parl!. S. Mult. --Neww·¤·• mman. CULTE. LB moaïsrm A PIGPOS ne HPFGUI.
perdons rarement nous temps à combattre les journaux ul-
tramontains lorsqu’ils attaquent le J udaïsme.Tout sur cette matière 1 déjà été dit, et si anjou«rd’hni MRE Pîtlels du Judaïsme pour en faire mortir les beantéset le çaraotèrs ntionnel, .c"eSi à l’u·· sage de nos propres eoreligionnaires, et non pour lutter en favtettt d’sne esnse gagnée depuis longtemps an tribunal de le raison. H est certain que la plus grande partie de la cisilimtion est due à le religion mosaïque. a Ca.r`e’est par elle qtïtme vérité pféoiettle. a que ls raison livrée à elle··méme n’anrait ttouvée qtfapfü » un développement lent, la doctrine de Vtlltitê de Dieu, QM n cette vérité, disonsdtons, s’est faitjourdsns le peuple, et fest » eonservée comme une croyance absolue jusqtfà ce qn’ella se a fut fait jour dans Pesprit des hommes éclairés. Par là une s grande partie de Phntmnité e évité ees trktes résultats son au quels devait aboutir, eniln, le polïthéismo; et la oonstiletien » hébraïque est Pasnntsge elelusif que la religion des Hegel » n’svait rien de dioeetement opposé à la religion popnlaire, n comme cela a en Ben chez les païens lsspkw éclairés (I). » — Le Judaisme ainsi entendu et @5é des pratiques, sarinblq de leur netone, pnisqn’oMes ns servent que tïesveloppe à la 91*0* fessionide grandes vérités, estponr ses adhérents un titerede gloire. (1) soutenue, Mission d«·M¤n«, 2e alinéa. . 20
�
