tsmitttrss. n SÃÈI qui finiront par disparaitre. Les divers prédicateurs qu`o n a en·· tendus ont tous fait preuve d'un esprit éclairé. Honneur â la lle- ‘ Iigion qui n’a rien à craindre de la ditfusiondes lumières. , S· Cannat. _ ÉCOLE me: TRAVAIL DE llULHoUsE. Rapport sur les recettes et dépenses pendant les années 1848, l8t9 et l850. Lorsqn’nne institution existe depuis un certain nombre d’an- nées, le public finit par ne plus se rappeler ce qu’il a fallu de zèle et d’elforts pour l`établir et la Isoutenir. Il arrive même quelque- lois qu°on en révoque en doute l’ut.ilité. Dans le Haut·Rhiu, il est arrivé que ceux-là mêmes qui s'y opposaient dans le principe, . s’e`n emparent maintenant. Ainsi le Consistoire de Colmar, après avoir fait opposition à cet établissement, se montre plein deten- dresse pour lui, mais il veut qu’il soit it Colmar. ll y aura donc ` deux écoles, l’une dans cette dernière ville, l‘antre à Mulhouse. Le rapport que nous avons sous les yeux a donc pour nous d’au- tant plus d’intérêt qu’il nous initie aux ressources actuelles de la société pltilanthropique qui a fondé cette école; si elle continue ii résister ai toutes les chances qu’elle avait de succotnber, et nous espérons qu’elle résistera, ce sera une preuve qu’e|le a dans le pays des racines qn’un caprice consistorial ne saurait détruire. Le rapport énumère d’abord tout ce qui menaçait la société de- puis 1847 etsurtont depuis la mémorable année 1848. Des motifs _ de prudence, fondés sur le peu de ressources de la société, lui ont fait ajourner indéfiniment le remplacement de dix élèves par dix autres élèves. · - ` Les recettes de i8·t8 ont été de ·l,560 fr. 82 cent., et les dé- penses de 5,227 fr. l5 e. ,·; ` Les dépenses, pour l`anné·e suivante, out dû être réduites, ev Padmission d’élèves nouvewx ajournée. ` ` ·· « Le nombre des élèves étaitde quinzejusqu‘au l5 octobrc184*.). ` A cette époqtte,`six étaient sortis après avoir atteint la fm aa leur
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