Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/554

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lib annnwsl apprentissage; il ne nous en restait plus que cinq jusq¤’au 6 Ilût1851·, et un seul juswïu 18 juin 1851. • Total des dépenses, ft'. 8,577 25 0. Dépenses de·1868, d'I1utre part, 5,227 15 — Ensemble, 10,804 56

Recettes, y compris celles de1848, 9,269 90 Déficit au moment de la présentation du rapport, 1,534 46 10,804 56 Avec le loyer de 850 fr. jusqu’à la fin de juillet 1851, le dé- cmivertse monte à 2,584 fr. 46 c. (Le renouvellement du personnel devait donc étre indéüni- ment ajourné jusqu‘à Pextinction totale de toutes les dettes. » Le rapport continue ainsi : Nous étions dans cette situation déplorable quand le 18 août fut eniin rendu le décret du président dela République, reconnaissant la société phi- lanïhroplque comme établissement d’utilité publique. Quatre années de démarches actives avaient été employées pour obtenir ee décret, et quand il fat rendu, la société ainsi que l’école étaient menacées plu que jamais d’une ruine complète. Cependant le comité, stimulé par M. le président de la société, délibéra de nouveau sur les mesures à prendre pour réorganiser l’école et l’asseotr sur des bases plus solides. le pouvant plus considérer que comme des ressources purement éven- tuelles les souscriptions qui étaient arriérées depuis plusieurs années, le ce- mité déclara qu’il ne pouvait procéder à la réouverture de l’école qu’autant qu’une somme de 3,000 fr. lui fût assurée par la société comme minimum nécessaire pour l’entretien des dix élèves pendant une année; deux mem- bres de la société prirent Pengagement de garantir cette somme pendmt ‘ trnts années. Cette garantie rendit le courage au comité, et de nouvelles démarches la- rent tentées aupres de nos anciens souscripteurs; ces démarches eurent un plein succès et produisirent, pour Mulhouse seul, une somme de I,930 fr. ll. Worth, de son côté, nous ayant fait parvenir dans les premiers mots ddlüt une semmede8001’r. provenant ds secours donnés par le gouver- nement et le conseil général, nous avons enûn pu sortir de la sttnntton pré- estro dans laquelle nous nous sommes trouvés si longtemps. Pendant que nous nous oceupions de la réorganisation de notre école, le