ques., c’est·à·dire le éd ~t5t5, ce noi lima aux ntà ms·une àutaille au Bettlsaac, —où ceux-vci furentlbzsttustet d mu doneùue ·d·e don Christophe venge: son mitre en tuut tl’1m cuup de fusil Ahmed Graüé, la terreur de |’Ab=yssinic, qui fut ainsi délivrée de sun plus terrible tléau. ‘ Le rai qui succéda à Claudius, et qui fut son frère items cu Adamas—Segued· (1559-63), ouvrit son règne par une car centre le roi juif Badaet. ll alla le chercher et le combattre dans la province du Simen, où ce rebelle, dit Bruce, occupait un paste très-furt. Le succès fut quelque temps- incertain, et Pexpéditinn niétait pas très-avancée, lorsqu’uu ermite , vraisemblublemeit hs du voisinage d’une armée turbulcnte, vint trouver le roi et lui dit qu’il lui avait été révélé que la conquête des juifs ne lui pas destinée, et que leur temps n’était pas encore venu. Tandis que Menus semblait disposé à profiter de l’avis de l"eru1ite, comme d’uu prétexte bonnrable pour abandonner une entreprise qui ne taurnait pas à son gré, il survint nn événement, qui ne nous in- · téreese pas et que nous passens sous silence , événement qui le détermine à y renoncer plus promptementencore (1). ` Buis le vrai niotif qui paraît avoir décidé Menus à laisser en paix les Ealeshaa, fut probablement l’impossibilité de faire face à `deuxennemis à la fois, puisqu’une partie de ses sujets s’était scu- levée contre lui, et la nécessité où il était de conclure la paix avec un de ses ennemis pour qu’il l’aidât à vaincre l’autre. lieues
trap bien la valeur et la constance d es Falasbas pour A
ne pas comprendre de quel immense secoursiils pouvaient lui être dans la guerre contre ses sujets. En elîet il conclut un traité aluceux, par lequel les Falashas entrèrent dans son armée avec douce mille cualiers. Isis peu de temps après, Menus mourut, selun quelques-uns, les armes à la mainïen combattant ses sujets récoltés.; ai selon quelques autresgil lut atmué de la âévre du blla, ~c’est·—i-eiire du plat peys,·et au buut·de quelm jeun de üidie, il rmcurut ile 51 janvier 1563 (2). ' Ashlemsjmccédc ou âls Sertm-Qngel uu&ele sd (1565-, iüâü, le rplmvcélèhe capitaine qtfait jamais vu lîlhbmiùc. tù (t) Bruce, t. IV, p. 315. - (2) Bruce, t. IV, p. 323. `
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