Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/57

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immuno. D7 deus une per·teeutr`earerte=ldssait voir ts eemtsdentduaque parole pouvait être entendue. · — Le vieillard deptns son arrivée au chateau marchait dieteti- esment en étonnement. de surprise en surprise. Il se figurait qu’il attrait beaucoup d’obstaoles à vaincre avant d’arriver au comte, et ii trouvait les pertes ouvertes. H croyait que le liber- tin faisaà mystere de ses amours, qu’ii se retirait dans quelque boudoir secret, et au contraire, il Yapercevait dans un salon dont Patrie était aceavaibleà tout le monde.Le eemteétait asù près dlune table sur laquelle on voyait des papiers et une Bible. Riu dans Pattiaude de sa lemme u’acensait une intimité eoupahle. Mîable, mais tüspàztueuse, elle répondait avec convenance ni queauons" que i ressait son singulier éleva. Le·rablain ne pnvait plus se soutenir sur ses jambes. Appuyû eauue une porte, la main sur son cœur il cherchait a en com- primu les battements. Pour la premiere fois Pinuecence de sa famme lui venait a liesprit. Il épiait ses regards. ses paroles, ses mouvements, rien ne lui échappait et rien ne l’aceusait en- uue EaEn,.|s lecture est terminée, le conte se iàve, et s’ap· proche de la belle juive. — Golüerg serait tembéa la renverse si Noémie et Kleiaer ne fussent arrivésa temps pour le soutenir. Toualea leur respiration pour ne pas perdre une parole. ·~ ·-elaoble femme, ësalt le comte en prenant la main de la mère de Noémie, votre martyre est [ini : le jour de la réparation 6i amivé; grâce a veus, j’ai appris à connaitre la vertu, le dé- V0|I€·ll|€IIL’.Ã.V¤üIl. de vous avoir rencontrée, je vnltigeais de plai- ttitxen plaisir, de jouksance en jou%ee, sans jamais rue rendre compte de mes devoirs, sans élever mou ame vers la source di- vioe du bien et du vrai. votre résistance m’a étonné. Vous am rsjaté.-lîeequejeeeus efrüs et quand je vous dai quel etait le motif qui vous ftisait préférer votre Ivumhle émeute _· un apleudidœ palais que je mettaisàvos pieds. vous m’a=rez répondu que o’étaient la rebgioa et Pestime de votre mari. La neügiea, tjiai voulu la connaitre à fund, je déalrab auaai com- prendre et apprécier les travaux de l’iilustre rabbin wi, malgé son ageavancé, avait son inspirer de tels sentiments. Vous rn ’aveu

 proue  aveI~devieégue j’éüs plutôt coupable par l’esprit

que par le cœur ; vous vous étes dévouée a faire mon éducation

 Grieea vous;. ’e ee ds la langue des prepbates;

âne à—.vous, ie lis ùns ie livre du plus grand lgialateurg grace avoue, j’ai apprise apprécier le peuple queje mépriseis: m

 sera aussi éclatante que votre dévouement e été

modeste. avec tente la puissance que Bien a mise à ma-diaposi- àt à dékadralh-cause dilsrsél. . · ·s·-~lt:ala•k·l¤i, ditiatlirudeüeélie, ii ereitsaïe