· rstusntrns. 563 ceux qui se montrent généreux pour les besoins du culte, il faut avoir en vue dans tout ce qui concerne l’office, le grand nombre des assistants. C’est·là que doivent tendre les elïorts de l’adminis·· tration du temple, et c’est sous ce rapport surtout que nous nous proposons d’examiner successivement diverses parties du règle- ment du temple; mais, dés aujourd’hui, nous reconnaissons que l’administration veille à sa stricte exécution; nous ne sommes pas surpris si elle n’y est pas encore tout à fait parvenue. S. Cnam.
MELANGES. 1tEct.xmt·rton. Les dernières solennités du temple de la rue Lamartine n’ont donné lieu à aucune observation, et nous nous empressons de rectifier une erreur commise par nous sur la foi d’une personne que nous pouvions croire mieux informée, en disant qu’il n’a- vait pas été offert d`honneur religieux au prédicateur. En réalité l il a eu l’honneur de sortir le Sepher. Au sujet de l"ordre du jour de Padministration de ce temple que nous avons publié dans le N° du 15 septembre, nous avons reçu, dès le 10 octobre, une réclamation, de M. T. Astruc, et si l’étendue de cette lettre ne nous permet pas de la publier, notre impartialité nous fait un devoir de la résumer. M. Astruc nous dit que a le sens et les termes de cet ordre du jour ont complétement faussé la décision qui a été prise à cet égard dans la séance du 15 du même mois. n Ceci regarde l’administra· - tion du temple dont M. Astruc a fait partie. Il s’en est retiré ré- eemment. Quant à nous , nous avons textuellement publié cet or- dre du jour tel qu’il nous a été adressé. H. Astruc ajoute que Padministratnon, tout en faisant fonc- tionner l’orgue les jours de fête et s’est réservé la faculté de ne pu faire entendre cet instrument à des époques où elle le croirait peu en harmonie avec la solennité, n et il cite le silence de cet instru- ment pendant les trois samedis avant le jeûne d‘Lb. Pour nous,
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