Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/658

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HO annu! nos frères des diuenœ contrées, et qui a fait si iengtemps tem fœœ; c’est de ramener à l"unité ces forces éparses, et d‘empê— cher que la diversité des pays et des langages ne nous rende étrangers les uns aux autres : c’cst à cette œuvre que nous nous sommes dévoués et nous avons eu le bonheur de ramener par là, au sein de nos aâaires publiques et dans la comme- n ion de nos intérêts, des hommes qui en étaient restés longtemps éloignés. _ Voilà pour le passé ~: et c‘est là même la garantie que nous ol'- lîrons pour l’avenir à noslecteurs : le champ est vaste, et, plus on le cultive, plus il semble s’étendre: de nouvelles questions se produisent., et de nouveaux hommes.se présentent pour mieux résoudre les queaions enciennes : depuis quelques années, on a pu le voir, des hommes que de regrettables et passugères causœ avaient écartés de nous, sont venus s’unir i notre œuvre, ct nous ont apporté un concours précieux : de nouveaux collabou·a· teurs se préparent ·à traiter dans ce lteeusil les matières si diver- ses que son œdrc embrasse, éducation religieuse, liturgie, mœurs et eivilimtion, devoirs ~de nes coreligionnaires, défense de leurs droits, union de leurs intérêts matériels et immatériels, histoire et antiquités juives , littérature et compte--rendus d’ouvrages, chronique non pas scandaleuse ni vbouîonne, comme d'autres la font, à la risée du public intelligent, mais sérieuse et piquante : cette dernière tâche sera dévolue à un de nos jeunes collabora- teurs ,_M. Isidore Cahen , dont les articles , si goûtés du public, Iorontdésorrnai-s plus fréquents : en Pappelunt à prendre dés- ormais à la direwon de cette feuille une part si active, nous ne croyons rien faire qui déplaise à nos lecteurs, mais nous ne «voulons·pag;insister davantage sur un pareil soja qui nous ten- —cbe·de près·et où nous crovonsf d’ailleurs··q•e Fopinion de nos tlœœurs se rencontrera avec la nôtre. `

  • Dus cœ disposiâons, nous albons reprendre notre œuvreâe

morilintion, ·œu•me qui pourrait être conûéc à des ·mui·ns plus habiles, mais non à une âme animée de=plns·droiteset·de»plus con- cilitntes intsntionsa à Favenir, plus que îiamais, nous üédnigne- nous desottes pmnotsations, etnous tlailhtronsslen miette .‘U|'Iü‘l’B‘À¤f·8:S'àl'Èl'$‘ en paiszsursnotre chétiveçorsonuc, ou