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XANTHIAS.
Je ne sais, mais cette épaule est brisée.
DIONYSOS.
Si tu prétends que l’âne ne te sert de rien, à ton tour, prends l’âne et porte-le.
XANTHIAS.
Malheureux que je suis ! Pourquoi n’étais-je pas au dernier combat naval ? Je te ferais longuement gémir.
DIONYSOS.
Descends, maraud ; je vais m’approcher de cette porte, où je dois aller d’abord. Enfant, enfant, holà ! enfant !
HÈRAKLÈS.
Qui a frappé à la porte ? Qui que ce soit, il frappe en vrai centaure. Dis-moi, qu’y a-t-il ?
DIONYSOS.
Xanthias !
XANTHIAS.
Qu’est-ce ?
DIONYSOS.
As-tu remarqué ?
XANTHIAS.
Quoi ?