Page:Aristophane, trad. Talbot, 1897, tome 2.djvu/281

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XANTHIAS.

Iau !

DIONYSOS.

Viens ici.

XANTHIAS.

Salut, maître.

DIONYSOS.

Qu’y a-t-il par là-bas ?

XANTHIAS.

Ténèbres et fange.

DIONYSOS.

As-tu vu quelque part les parricides et les parjures, dont il nous parlait ?

XANTHIAS.

Et toi ?

DIONYSOS.

Par Poséidôn ! j’en vois à présent. Allons, que ferons-nous ?

XANTHIAS.

Le meilleur est d’aller plus loin ; car c’est ici le lieu, disait-il, où sont les monstres horribles.

DIONYSOS.

Comme il gémira ! Il faisait le fendant, pour m’effrayer, me sachant brave. Pure jalousie. Je ne connais rien de