Et encore une couronne.
Que te manque-t-il ? Que veux-tu encore ? Va dans la barque à Caron, le nautonier t’appelle, tu es en retard, il t’attend pour faire voile.
Ce qu’il faut supporter ! Mais, par Zeus, je vais me rendre auprès de mes collègues, et me montrer à eux dans cet appareil ridicule.
Tu te plains que nous n’ayons pas terminé les cérémonies mortuaires ? Patience, dans trois jours, au matin, nous viendrons faire les sacrifices traditionnels.
Nul homme libre n’a plus le droit de s’endormir ; préparons-nous, guerriers, à nous défendre. Cette affaire m’a tout l’air de cacher de nombreux et graves périls. Cela vous a comme une odeur de la tyrannie d’Hippias. Je crains fort que les Laconiens, rassemblés ici, dans la maison de l’efféminé Clisthène, excitent ces femmes ennemies des dieux à s’emparer par ruse de notre trésor, nous privant ainsi du salaire qui nous faisait vivre. C’est une indignité de recevoir, nous