LES OISEAUX. 49
nSTIÏÉTÉRUS. ÉYELPIDE. LA HUPPE. PROCNÉ, LE CIIŒUH.
PISTnÉTÉRUS.
Jupiter, le joli petit oiseau ! Qu'elle est tendre ! Qu'elle est migiioime î
ÉVBLPIDE.
Sais-tu que je la presserais de bon cœur dans mes bras?
PISTnÉTÉRUS.
Elle est parée comme si elle était à marier.
ÉYELPIDE,
J'aurais bien envie d'aller lui donner un baise
PISTHÉTÉRUS.
Hé î ne vois-tu pas, mon pauvre ami, qu'elle a le nez pointu comme une broche ?
ÉVELPIDE,
Hé bien î II n'y a qu'à lui peler le nez, comme on pèle un œuf: on enlèvera cette écaille, qui lui couvre le visage.
LA nUPPE. t
Allons-nous-en. ,
ÉVELPIDE.
Mène-nous sous d'heureux auspices
LE CHŒUR.
le plus aimable, ô le plus tendre, ô le plus chéri de tous les oiseaux 1 Procné, chère compagne, toi qui fais le charme de nos chœurs, tu t'es donc rendue, oui, tu t'es rendue à nos vœux : tu parais au milieu de nous pour nous enchanter par tes doux accents. Ah ! ne diffère
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