Page:Aristote - La Morale d’Aristote, Ladrange, 1856.djvu/1533

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��ser quand ils sont trop vifs, N, VII, 11, h. — Deux sortes de 0, N, VU, 4, 2. — .\e sont pa?; le bonheur, \, ], î>, 11. — Va- ri(^té des ( ) suivant les indivi- dus, N, 111, 12, 2. — Leur rap- port avec la tempérance, A', Vil, U, 1. — Distinction entre les désirs et les ( ) , IS, VII, 6, 6. — Différentes espèces de ( ), N, X, 5, 1 et siiiv. — ( ) du corps, plai- sirs de la sagesse, N, VU, 11, 1/|. — Oducorpsetplaisirsde l'ànie, N, 111, 11, 2. — Nécessaires, N, VII, Zi, 2. — Ktude sur les ( ), N, VII, 13, 1 et suiv. — Corporels, peuvent contribuer an bonheur, E, I, 5, 13. — Les ( ) du tou- cher et du front provoquent sur- tout rintenipérance, M, III, 11, 9.

Plaisirs du vulgaire, ne sont pas de vrais plaisirs, N, 1, 6, 10.

Plantes, n'ont qu'une exis- tence inférieure, E, I, 5, 7.

Platon, cité sans indication spéciale, N, I, 1, 1, n. — A eu raison de mettre la morale au- dessus de la politique, N, 1, 1, S), n. • — N'a pas confondu comme Aristote le devoir et le bonheui-, N, 1, 2, 2,«. — Désigné par Aris- tote qui ne le nomme pas, jN, I, 2, 5, 71. — Cité par Aristote, ùL, ibid, 7, n. — Approuvé pour sa méthode relative à l'étude des principes, N, I, 2, 7. — Critique de sa théorie des Idées, relati- vement au bien en soi, N, I, 3, 1

��et suiv. — A peut-^tre fourni à Aristote sa fameuse maxime sur les rapports de la vérité et de l'amitié, N, I, 3, 1, n. — Défendu contre les critiques d' Aristote, N, I, 3, 14, n. — En quoi sa mo- rale est .supérieure à celle d'A- ristote, IN, I, U, 5, n. — Imité par Aristote, N, 1, U, 13, n. — Divise les biens en deux classes: biens humains, biens divins, N,

I, G, 2, n. — Désigné implicite- ment par Aristote, N, 1,7, i, n. — Eait de ridée du bien, la première de toutes les idées, 1, 7, 5, n. — Emprunte une mé- taphore à Simon ide, N, I, 8, 6, n. — Les Lois citées, N, II, 3, 2, H. — Loué par Aristote, N, H, 3, 2. — Sa théorie du plaisir, A,

II, 9, 7, n. — N'a pas étudié la lil)erté aussi profondément qu'Aristote, N, ill, 1, 1, n. — Cité, N, III, 2, 2, ». — Critiqué indirectement par Aristote, N, m, 2, 11, n. — Sa théorie du vice, N, m, 2, 11, n. — Cité, N, m, 5, ti, n. — Cité, N, Ilf, 6, 1, n. — Critiqué indirectement j)ar Aristote, id., ibid., h, n. — Id.,ibid., 12,». — Id., ibid., 13, H. — Iléfuté indirectement par Aristote, îi, III, 6, 16, n. — Cité, N, III, 7, h, n. — Cité, .\, m, 8, 4, ». — Une de ses théo- ries justifiée par Aristote, N,

III, 9, 6, H. — Défend de rendre le mal pour le mal, N, IV, ». — <;ràce exquise de ses dialogues,

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